Le blog de hedonos

Pur mystère

J'imagine ton sexe qui s'ouvre sous tes doigts … ta liqueur qui coule entre tes cuisses … onctueuse … chaude … odorante …

J'imagine ton corps qui se cambre … pour que tes doigts te pénètrent plus loin … plus profond …

Je te vois rien qu'en t'écrivant …

J'ai la chance d'avoir mon bureau, de pouvoir en fermer la porte pour m'isoler sans que l'on m'y dérange. Je le fais maintenant pour être un moment rien qu'avec toi …

Je n'ai pas l'art de raconter la ceinture que je défais, la braguette que j'ouvre, le pantalon et le slip que je descends sur mes jambes … mais je sais que ton esprit voit ce qui est caché à tes yeux …

Je suis assis sur le bord de mon fauteuil. Mon sexe est dressé de la lecture de tes mots. Je l'ai pris dans ma main droite et je tape maladroitement de la main gauche sur mon clavier. Ma bite est dure et chaude. Je sens dans ma main les battements de ses veines. Si j'étais assez souple, j'aimerais me prendre dans ma bouche en révant de ton sexe chaud et onctueux … que tes doigts pénètrent en ce moment…

J'aime caresser longuement avec mon index la hampe du prépuce complétement retourné par le désir, puis le profond sillon qui fait le tour de la base de mon gland. Mon méat s'ouvre légérement par spasmes pour laisser couler une goutte, pas de sperme, mais d'un liquide transparent et onctueux dont je voudrais t'enduire les lèvres. J'en mouille mon index et l'étale tout autour de mon gland. J'aime me caresser ainsi en prenant mon temps, en pensant à ton corps sublimé par le plaisir que tu te donnes. Je te sens à côté de moi, tu ne peux détacher ton regard de ma main qui bouge lentement sur ma verge. Tes yeux sont fixes, tu es attentive au moindre des spasmes qui m'agitent. Ton regard est confiant. Tu sais tout le plaisir que tu me donnes, que je vais prendre …Caresse-toi les seins, s'il te plait, en me regardant.

Je me suis levé maintenant, pour que ma main soit plus libre de m'enserrer comme le ferait le muscle puissant de ton anus. J'aime faire un anneau de mon pouce et de mon index, en serrer la base de ma bite, juste au dessus des testicules. Mon sexe se tend, gonfle. Mes doigts remontent sur toute sa longueur, tirent la peau pour tenter vainement de recouvrir mon gland. Mes testicules sont ainsi comprimer par la peau qui se resserre sur eux. Je me délecte de mon désir. Je te l'offre. J'aime, que je sois seul ou avec une femme, faire durer ce moment d'avant jouissance quand mon corps n'est plus qu'un sexe, quand mon esprit est totalement occupé par ma partenaire … par toi en ce moment.

J'ai pris un crayon, je l'ai léché avant de me l'introduire dans le cul. J'imagine ton doigt à sa place. Un doigt décuple ma jouissance. Et la jouissance est prodigieuse. Pourquoi s'en priver. Ton regard sur moi m'exite et me pousse. Ma main va et vient maintenant dans des mouvements plus amples, plus rapides. Je voudrais tes seins généreux pour blottir mon sexe entre eux, les serrer de mes mains pour lui faire un fourreau chaud et souple. Aller et venir dans cette antre jusqu'au plaisir ultime.

J'aime retarder ma jouissance jusqu'au moment où tout devient incontrolable, quand ma raison fuit, qu'il n'y a plus que le corps et que le corps n'est plus que le sexe. J'aime follement ce moment où plongée dans un sexe féminin, ma bite sent se refermer sur elle les parois du vagin contractées des soubresauts de l'orgasme. C'est prodigieux de sentir contre soi un corps de femme qui jouit avant de soi-même tout lacher pour arriver à sa propre jouissance qu'accompagne la plupart du temps un autre orgasme encore plus fort.

J'aime le plaisir de la femme. J'aime le plaisir que je vois à l'instant dans tes yeux parce que le plaisir qui monte dans mes reins est pour toi. C'est toi qui me le donne et je te l'offre à mon tour.

Je suis debout devant ma fenètre. Mon sperme va gicler sur la vitre, pour toi, pour tes seins, pour ta bouche, pour ton sexe, pour ton cul, pour où tu le veux. 3 longs jets qui s'écrasent sur le verre, que tes yeux ne peuvent plus quitter. Tu aimes le plaisir, tu aimes ce jus encore chaud qui vient de jaillir de moi. Je le lèche pour toi et te l'offre en breuvage dans un long baiser.

Lun 18 jan 2010 Aucun commentaire